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Le marché des résidences secondaires ne connaît pas la crise, loin de là même puisque les Français manifestent à son égard un net regain d’intérêt. Les effets de la crise sanitaire lui sont plutôt bénéfiques.
iStock-VvoeVale
Les résidences secondaires ont le vent en poupe
Le confinement a plus que jamais donné envie aux Français de vivre dans un cadre naturel, au grand air, de s’offrir si possible un pied-à-terre à la campagne voire même mieux, sur le littoral. Ce besoin se traduit concrètement par un net regain d’intérêt pour l’immobilier en zone rurale et au bord de la mer depuis le mois de juin dernier, soit deux semaines seulement après la sortie du confinement. La plupart des professionnels de l’immobilier — notaires et agents en tête — comptabilisent une franche hausse du nombre de consultations des offres de ventes de maisons et d’appartements, à l’image de la Bretagne, avec dans bien des cas +45 % de consultations des offres en comparaison avec mai 2019. Plus de 25 % de ces consultations concernent justement l’achat d’une résidence secondaire. Cet engouement n’est en réalité pas nouveau en soi, car le nombre de résidences secondaires en France a été multiplié par trois depuis les années 70, les portant dorénavant à plus de 3,5 millions sur les 35 millions de logements que compte le pays. Et il y a quelques années de cela à peine, soit en 2015, le marché de la résidence secondaire connaissait déjà un nouvel essor, porté à la fois par des taux d’intérêt de crédit immobilier plutôt bas et des prix de vente qui se sont tassés de 20 % voire 30 % selon les endroits. Mais face à une demande en régulière augmentation, les prix sont tout de même repartis à la hausse, ce qui a mécaniquement conduit nombre de Français à accélérer la cadence et se porter rapidement acquéreurs.
La crise sanitaire a renforcé le phénomène
Après deux mois passés en appartement pour cause de confinement lié à la crise sanitaire, le désir de devenir propriétaire d’une résidence secondaire à la campagne ou en bord de mer se fait plus que jamais sentir. Pour Bertrand Couturié, directeur d’un réseau d’agences immobilières haut de gamme « La crise sanitaire a redonné ses lettres de noblesse à la campagne. Celle-ci était parfois un peu méprisée par rapport à des vacances passées dans des pays lointains, mais tout le monde a eu conscience que le confinement a été mieux vécu à la campagne qu’en ville ». Si la campagne française attire les acheteurs, le littoral atlantique continue de caracoler en tête des destinations de choix pour l’achat d’une résidence secondaire. La Normandie, la Bretagne et le golfe du Morbihan, le sud-ouest et le bassin d’Arcachon ou encore la côte basque avec Biarritz notamment sont à ce jour les secteurs les plus prisés. Le Languedoc-Roussillon et la Méditerranée continuent également de s’attirer les faveurs des acheteurs. Il faut dire que les nouvelles lignes LGV ont considérablement réduit les temps de déplacement entre les grandes villes, en particulier depuis Paris, et que les prix de l’immobilier, quoiqu’élevés, demeurent tout de même en dessous de ce qui se pratique dans les grandes agglomérations. Quant à savoir si ce regain d’intérêt va se traduire par une hausse des prix au niveau local, pour l’heure rien n’est encore avéré.
Le présent article est rédigé par Labsense pour Boursorama. Cet article ne doit en aucun cas s'apparenter à un conseil en investissement ou une recommandation d'acheter, de vendre ou de continuer à détenir un investissement ou un placement. Boursorama ne saurait être tenu responsable d'une décision d'investissement ou de désinvestissement sur la base de cet article.
C est marrant, je pensais qu on était dans la pire récession de tous les temps, que le chômage allait augmenter, que les salaires allaient diminuer car moins de primes et chômage partiel. Jamais vu autant d article s insistant sur le fait d acheter de l immobilier, ça sent le crack, comme en bourse, et sur les dettes des états.
information fournie par Primaliance•13.05.2025•18:10•
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